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Témoignage d'une étudiante toulousaine (journées FDV 2023)

 

Irez-vous aux prochaines journées France-Allemagne Vétérinaire ? Si cela peut vous aider à choisir, voici mes impressions.

Je suis étudiante française en avant-dernière année à Toulouse, et en juin dernier, j’étais à Pau pour 4 jours qui m’ont semblé être 4 semaines et 4 secondes à la fois. Le temps s’est dilaté tant nous découvrions de nombreuses choses, chaque jour était neuf et rempli d’expériences. Les journées étaient rythmées par un programme concocté avec goût et équilibre, sachant mêler les plaisirs de la nature en profitant des Pyrénées, et les ravissements de la culture locale avec la découverte de Pau et de son château, de la pelote basque et de la délicieuse gastronomie du Sud-Ouest.

Le temps s’est aussi contracté tant j’appréciais chaque instant et ne voyais pas le temps couler. Prise dans des conversations que je n’aurais jamais imaginées avant ce voyage, le temps glissait sans bruit. J’ai petit déjeuné avec des étudiants allemands de Munich, Hanovre, Leipzig et d’ailleurs, tous à la même table à rire ensemble. J’ai écouté des vétérinaires allemands et français nous raconter leurs anecdotes les plus rocambolesques ou les multiples métiers qu’ils ont traversés au cours des ans. Et je crois que ce genre d’opportunité ne se présente pas si fréquemment.

J’ai participé aux journées France-Allemagne Vétérinaire de Pau parce que j’aime voyager ; j’étais curieuse de nos voisins allemands et parce que je recherchais l’échange et la découverte auprès de personnes d’horizon et d’âge variés. Et je n’ai pas été déçue ! Et grand merci à l’OFAJ (Office Franco-Allemand pour la Jeunesse) pour sa participation financière (dont vous trouverez le lien dans le menu).

                                                                                                                            Marie NGUYEN (Toulouse 2024)

La "traversée de la France" effectuée par Ulrich Severin,

vice-président de la section allemande de France-Allemagne Vétérinaire

(texte écrit par l'auteur en français)

Chers amis,

 

Une année troublante s’achève. Je ne vous parlerai ni des événements belliqueux ni de la crise sanitaire mondiale. À un moment donné on doit se souvenir que la vie vaut d’être vécue malgré toutes ces ombres qui tentent de nous priver de lumière ! Ce petit récit vous emmènera donc vers un petit tour de France que nous entamions comme tous les ans, accompagnés par notre fidèle petit camping-car "Bulli".

Le prologue de notre périple estival s’est produit au mois de janvier : nos amis allemands qui vivent au Brésil, tenant désormais une petite maison de montagne à Montclar (04) nous ont invités à passer quelques jours dans les Alpes de Haute-Provence. Comme nous vivons au plat pays, nous fûmes émerveillés par les montagnes enneigées, ensoleillées, qui nous invitaient à de longues promenades. Voyageant en autocar pour Marseille au retour, il nous fallait changer de bus à Aix-en-Provence où on était témoins d’un court échange entre deux chauffeurs marseillais (parlant avec un très fort accent marseillais), qui, lui seul, valait le voyage :

« RAS, la caisse est en bon état, je te la confie. »

« D’accord, j’y vais, j’ai la famille qui m’attend »

Le premier descend mais se retourne encore :

« Attends, t’as vu le nouveau contrôleur ? »

« Celui qui monte toujours au premier rond-point ? »

« Ouais, il n’est pas d’ici, il n’a pas l’accent »

« Pas Marseillais, j’y crois pas »

« Il est du Nord vu comment il cause »

« N’importe, pas Marseillais. Bon, faut que je démarre »

A ce moment-là je me suis posé la question si les Marseillais n’avaient pas un rattachement particulier à leur terre. Si jamais je me trompe, merci de bien vouloir m’éclairer !

La deuxième étape du prologue se déroulait en Allemagne, à Senden pour être plus précis. Notre fidèle amie Emma KUNEGEL faisant désormais partie de notre famille est venue nous voir au mois de mai. Elle a quitté l’Auvergne afin de s’installer en Loire-Atlantique où elle est embauchée dans une clinique à clientèle mixte. On a passé une semaine remplie de travail mais aussi de longues discussions sur la situation des jeunes vétérinaires en France ainsi qu’en Allemagne. La présence des jeunes Françaises au sein de la famille est énormément enrichissant comme cela nous permet d’être à l’écoute de la jeunesse.

Puis enfin les grandes vacances et le départ pour "notr"» Tour de France !

Ayant chargé de l’essentiel matériel de camping et de planche à voile notre "vieillard", nous allions à Maria Laach au bord d’un lac d’origine volcanique dans la région de l’Eifel (non, pas celle de Gustave qui s’écrit avec deux F !) Cette Région est située au sud-ouest de Cologne non loin de la Belgique. Le paysage étant splendide je vous conseille vivement d’y aller un jour, vous n’allez pas le regretter !

Après une courte nuit nous entamions la route traversant le Luxembourg afin d’éviter les autoroutes allemandes, qui reflètent très bien l’état de note société allemande : la loi du plus fort, égoïsme, impolitesse et agressivité. Voilà pourquoi je préfère les autoroutes françaises sur lesquelles on roule tranquillement sans être stressé.

Passant par Thionville et Nancy nous arrivâmes à Saint-Dié des Vosges tard dans l’après-midi. Il est devenu tradition de faire halte chez la famille DUCHÊNE qui nous ont accueillis pour la troisième fois consécutive. Les retrouvailles étant cordiales, les longues discussions sur l’Europe, l’avenir de la jeunesse et bien évidemment les relations franco-allemandes démarraient aussitôt. Sandra et moi étions très émus de voir les cinq filles dont les trois adultes de la famille Duchêne et nos deux adolescents célébrer l’Europe en miniature mélangeant le français, l’allemand et plus tard l’anglais lors de leurs entretiens. J’avais une petite larme aux yeux tellement j’étais ému par l’allégresse et la joie cette réunion franco-allemande ! Un immense merci à la famille Duchêne pour leur amitié et la porte toujours ouverte !

Après un petit déjeuner copieux nous fîmes nos adieux le lendemain. La prochaine étape nous menait le long de l’autoroute A6 et enfin sur l’autoroute du soleil jusqu’à Tournon-sur-Rhône où nous passions la nuit dans un petit camping joliment situé au bord de la rivière.

La petite ville bourdonnait de monde notamment au bord des quais du Rhône où des marchands vendaient des spécialités de la région, des musiciens se réunissaient pour des petits concerts spontanés, les familles flânaient, bref on vivait. À Tournon, une statue rend hommage à l’ingénieur Marc Séguin qui a construit le premier pont suspendu (1847-1849) traversant le Rhône qui relie encore aujourd’hui Tain-l’Hermitage et Tournon. D’après ce que j’ai appris, il a également construit une douzaine de locomotives ainsi que la voie ferrée entre Saint-Étienne et Lyon inauguré en 1831. Étant apparemment surdoué il s’était remarié trois fois ayant 19 enfants. Sacré ingénieur !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le lendemain à l’aube nous prîmes la D86 longeant le Rhône sur sa rive droite passant par La Roche de Glun et Saint-Péray avec ses ruines du Château de Crussol. Ce dernier abrite un très joli amphithéâtre où se tient le Festival de Crussol crée par ZAZ en 2017. Nous y sommes déjà allés à deux reprises en 2017 et 2018 non seulement pour savourer de la musique française mais aussi afin d’admirer l’incroyable vue à travers la vallée du Rhône jusqu’au Vercors ! À Bollène on a rejoint l’autoroute A7 direction Orange puis la ville de Nîmes qui est l’hôte d’un festival éponyme. Comme nos filles sont grandes amatrices d’un groupe de rock finlandais, il tombait bien que ce même groupe se présentait en concert aux arènes de Nîmes le soir même. Nous avions réservé des places à l’avance mais la surprise et la joie des enfants n’étaient pas moins grandes face à l’ambiance gaie et magique dont rayonnait ce monument romain rempli de multiples générations d’amateurs de rock qui fêtaient leurs idoles. C’était LA grande fête !

La nuit fut courte dans le joli petit hôtel « l’Orangerie » mais il faisait déjà chaud à l’aube et il nous restait une dernière étape à faire qui nous mènerait à Canet-Plage dans les Pyrénées-Orientales. Longeant l’étang de Leucate, le majestueux massif du Canigou au loin nous coupait le souffle d’admiration tellement c’est magnifique ! Je suis certainement conscient que la France est un très beau pays mais le 66 avec sa situation entre ciel et montagne y compris les paysages insolites et solitaires du Conflent et de la Cerdagne exercent une attirance particulière sur moi.

Nous passions alors deux semaines dans un camping au bord de la mer dans une chaleur qui augmentait chaque jour jusqu’à devenir étouffante. Heureusement on avait la piscine et la mer à deux pas ce qui nous permettait de se rafraîchir régulièrement. L’ambiance au camping était très conviviale malgré les températures caniculaires qui n’empêchaient pas les boulistes de se réunir chaque jour vers 14 h sur le boulodrome à peine ombragé.

Deux semaines s’écoulaient dans la détente, et soudain il était temps de rentrer. Vous connaissez ce phénomène ? On vient juste de s’installer, les vacances n’ont guère commencé mais hélas trouvent une fin subite ? Puisqu’on ne peut pas remonter le temps on acceptait l’inévitable non sans faire un petit détour à Barcelone ville hôte de la coupe du monde de hockey sur gazon féminin. Comme notre cadette Emilia et son père sont des adeptes de ce beau sport nous avions des places pour les demi-finales au stade olympique de Terrassa. Nous prîmes donc congé de notre beau camping vers midi afin de rejoindre l’autoroute A9 au Boulou, traversant les Pyrénées et la frontière au Perthus avant de rejoindre la Jonquera après deux heures de route. Nous avions choisi la journée la plus chaude qui rendait difficile le voyage dans un vieux camping-car sans climatisation le soleil inexorablement nous tapant dessus tout au long de notre itinéraire. Quelle idée de descendre direction sud à midi… L’aiguille de l’indicateur de température-moteur nous renseignait que même notre fidèle voiture supportait mal la chaleur. Comment la soulager ? Nous mettions le chauffage à fond, les vitres baissées ce qui améliorait la situation. Arrivés à Barcelone une véritable explosion de joie de vivre nous attendait au tour du stade où des milliers de supporteurs du monde entier fêtaient leur réunion après deux années d’évènements sportifs sans spectateurs grâce au CoViD.

Australiens, Indiens, Néo-Zélandais, Argentins, Espagnols, Néerlandais, Coréens, Irlandais, pour ne citer que quelques-uns étaient venu célébrer leur sport. L’équipe allemande fut éliminée de 2 à 4 (tirs au but) par l’Argentine après un match bien plus serré que le score final ne l’indique. Vu le sublime spectacle dont nous étions témoins la tristesse ne nous gâchait trop pas la belle journée passée en Espagne.

 

 

 

 

 

 

 

Comme chaque année la France nous a accueillis à bras ouverts. Nous avons vécu des moments inattendus, fait des rencontres inoubliables, et compris que la découverte ne s’y achève jamais tellement ce beau pays est riche en patrimoine.

 

Nous vous souhaitons une très  bonne année 2023 !

 

Ce petit récit est dédié à la Famille Jolivet

 

                                                                                                           Ulrich, Sandra, Clara et Emilia

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Clara et Emilkia aux arènes de Nîmes

Chez les boulistes !

Comme la photo ci-dessus l’indique bien il y avait une foule énorme et j’ai entendu parler que quelques-uns avaient même interrompu leur sieste afin de pouvoir participer aux tournois. Et si un tir n’était pas bien droit en début de l’après-midi, évidemment la sieste était trop courte, n’avait pas eu lieu du tout ou le déjeuner était encore mal digéré…

 

Étant le seul et sans partenaire pour les doublettes et triplettes formées je fis la connaissance de Claude, Grenoblois, et ancien boucher âgé de 82 ans qui vient dans ce même camping depuis 30 ans. Il me racontait un peu sa vie m’expliquant pourquoi il a préféré Madagascar à l’Algérie : « Écoute Ulrich, je n’avais pas envie de me faire massacrer par un ennemi invisible pour une cause que je ne comprenais pas à l’époque. » Rien à rajouter ! J’achetais deux bières et l’amitié était scellée de sorte que nous formions depuis la doublette la plus redoutée car notre jeu était imprévisible ce qui était notre plus grand atout ! La Pétanque réunit des hommes, femmes, jeunes amateurs et professionnels avec une telle simplicité qui m’étonne et me rend heureux à chaque fois que je rencontre des boulistes lesquels m’étaient inconnus avant. D’un coup on a l’impression que tu connais tout le monde et le camping entier te reconnait disant soudain bonjour le matin devant la camionnette de la boulangère et le soir te paye un pot au bar.

Bref Claude et moi étions inséparables mais qu’une doublette ce qui tombait mal pour le tournoi du 14 juillet qui exigeait des triplettes formées. Heureusement Thierry un véritable Ch’ti de Lille qui n’avait pas d’équipe non plus nous rejoignit.

Nous fîmes éliminer en demi-finale contre une équipe Belge de 11-13. On célébrait désormais comme si nous avions gagné tellement la journée était belle le résultat n’ayant pas trop d’importance !

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Une belle triplette !

Très tôt le lendemain nous rebroussions chemin direction Gorges du Gardon. On avait choisi un petit camping au bord du Gardon comme première étape sur notre itinéraire de retour. Encore nous parcourions 439 km dans une chaleur de plomb toutes vitres baissées - il n’y en a que deux - les vrombissements du moteur et le bruit des pneus dans les oreilles mais la température dans l’habitacle demeurant supportable. Comme le Gardon longe le camping nous ne tardions pas de nous rafraîchir dans l’eau claire du fleuve. Quel délice !

La fin de la canicule incertaine le conseil de famille décidait le cœur lourd de ne faire qu’une dernière halte en France qui serait Langres dans la Haute-Marne.

Nous fûmes cordialement accueillis par les propriétaires dans leur camping boisé et calme au cœur de la nature. Le soir ils nous faisaient déguster des spécialités du terroir tels que le fameux Langres, emblème gastronomique de la région et un très bon rouge issu des cépages de Gamay et Pinot Noir.

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Je connaissais le fromage qui figure parmi mes préférés à coté d’un bon Reblochon ou d’un Époisses bien affiné mais j’ignorais que l’exploitation viticole y joue également un rôle important dans le patrimoine gastronomique. Réunis autour de la table, perdus dans les conversations animées, le Langres et le rouge suivi de liqueur de mirabelles maison, la nuit était courte. Nous fîmes nos adieux le lendemain afin d’entamer notre dernière étape. Traversant le paysage tranquille de la Haute-Marne, nous passions par le Chaumontais avant d’atteindre la Lorraine suivie du Luxembourg et enfin l’Allemagne.

Bientôt le retour

Journées annuelles France-Allemagne Vétérinaire à Erfurt/Weimar, du 26 au 29 mai 2022,

vues par les étudiantes alforiennes

 

Après deux ans de Covid, les journées de France-Allemagne vétérinaire rouvraient enfin leurs portes. Cette année, nous étions cinq étudiantes de l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort à être très motivées pour y participer. L’association nous a très gentiment invitées à cette rencontre afin que nous découvrions France-Allemagne Vétérinaire et ses missions.

Jeudi 26 mai

Les journées débutaient à 18 h, et nous étions deux Alforiennes déjà arrivées. Nous avons été très bien reçues par les membres de l’association FDV avec qui nous avons pu discuter tout au long du repas à l’hôtel. La soirée permettait de rencontrer tous les membres du groupe et de réexpliquer le déroulement des journées. Cela nous a aussi permis de créer des liens avec les étudiants allemands (universités de Munich et Giessen) présents avec nous à table, et de discuter de nos études (similitudes et différences).

Vendredi 27 mai

Le vendredi matin était consacré à la visite de Weimar, très belle ville chargée d’histoire. Nous avons eu la chance de faire le tour du centre-ville accompagnés d’un guide, ce qui nous a permis d’en apprendre beaucoup sur l’histoire de Weimar et ses personnages célèbres, notamment Liszt, Goethe, Schiller, Martin Luther et bien d’autres. Nous avons ensuite déjeuné dans une auberge nommée la Schwarzbierhaus, très jolie avec ses colombages.

Pour certaines d’entre nous, arrivées le vendredi, l’aventure a commencée dès le trajet en train. Faire le chemin entre Paris et Weimar n’était pas simple : les changements étaient nombreux et il était facile de se perdre. C’est ainsi que Marie et moi avons découvert le magnifique village d’Hopfgarten, que nous avons eu le tout le temps de visiter en attendant le prochain train. 

Mais tout ce chemin en valait la peine ! Nous avons été très bien reçues à l’hôtel Kaiserin Augusta, juste en face de la gare de Weimar. Le cadre était magnifique et l’association très accueillante. Comme nous étions arrivées en plein milieu de la journée, nous nous sommes trompées de salle et nous avons débarqué en pleine assemblée générale de France-Allemagne Vétérinaire, section allemande, donc en allemand uniquement, et l’incident a été vite remarqué. Heureusement, l’association est très ouverte et accepte également les étudiants français parlant peu allemand, et nous avons toutes été très bien intégrées.

Au cours de l’après-midi, certains ont aussi pu visiter le Bauhaus muséum parlant du style artistique Bauhaus créé à Weimar, mais aussi le Belvédère Schloss avec ses jardins magnifiques.

Samedi 28 mai

Le lendemain, nous avons visité Erfurt, puis nous sommes allées au restaurant Golden Schwan. La ville d’Erfurt est très belle et cette visite nous a permis d’apprendre à mieux connaitre les étudiantes en provenance de Munich. Nous avons beaucoup discuté sur les différences entre l’Allemagne et la France dans le métier de vétérinaire, et cela a été très instructif pour nous.

L’après-midi s’est poursuivie avec deux conférences très intéressantes, organisées par la Landestierärztekammer Thüringen : l’une, par le Dr Eckhard Stief (Tierärztliches Fachzentrum Dr. Otmann & Dr. Stief, Mühlhausen), sur l’ophtalmologie, notamment les problèmes congénitaux les plus fréquemment rencontrés sur les yeux, et l’autre, par le Dr Thomas Gräf (Medizinische Laser Technologie GmbH, Ingelheim), sur les différents types de lasers existants et leur utilisation en clinique pour les petits animaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette journée s’est terminée par une soirée de gala pendant laquelle nous avons pu échanger avec l’ensemble des vétérinaires présents, français comme allemands, et ainsi demander des conseils pour se faire une propre idée de notre parcours, mais aussi agrandir notre réseau et trouver des opportunités de stage à l’étranger. Nous avons aussi chanté l’hymne européen, en français comme en allemand. La soirée a été très conviviale et nous remercions l’association France-Allemagne Vétérinaire pour ces belles rencontres, ainsi que l’OFAJ (Office franco-allemand pour la jeunesse) pour sa participation financière.

 

Dimanche 29 mai

Les journées France-Allemagne vétérinaire 2022 se sont terminées autour d’un petit-déjeuner convivial après lequel nous avons pu nous donner rendez-vous l’année prochaine... à Pau !

 

Marie Frangolacci, Mathilde Muller, Clara Valli, étudiantes ENVA

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La chorale estudiantine pour l’hymne européen

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Une partie des participants devant l’hôtel Kaiserin Augusta

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